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Affichage des articles du novembre, 2007
Deux fois rien à dit Devos, mais si ce nétait toujours que rien. Cette histoire de réchauffement climatique commence à me gonfler sérieusement. Donner à une masse d’abrutis par des médias coupables de crimes envers l’humanité des pensées cohérentes n’est qu’une autre imposture dont les vecteurs ne sont que ceux-là même qui sont censés nous informer. Crimes contre l’humanité, je sais j’y vais un peu fort. Cependant, on ne peut oublier tous les manquements aux « ordres » de transparence, pour ne pas dire des mensonges éhontés aux faits témoignés par de nombreux citoyens respectables. Qu’il est facile de focaliser l’attention sur des événements rares et improbables. Je ne nie pas la réalité de ces faits misérables, mais cette unanimité de réactions met fait penser à un état totalitaire librement consenti , comme aux états unis en sorte. Il existe un truc qui s’appelle l’empreinte écologique qui nous dit simplement que pour permettre a toute l’humanité de vivre comme nous (européen ) il fa
Rien de rien. J’achète souvent des jeux vidéos, par plaisirs, mais aussi pour ne pas mourir idiot (ce qui n’a aucune importance). Les performances sont devenues telles que les acteurs ont quelques soucis à se faire. M’enfin (vive Gaston Lagaffe) bon, je ne vais pas m’apitoyer sur le sort de quelques bellâtres qui n’ont parfois que seules excuses que d’avoir galéré avant de recevoir la consécration. Ou de belles poitrines qui ne doivent rien à mère nature, ou qui ne n’ont que le talent de se déshabiller à plus ou moins bon escient. Je n’ai rien contre la nudité, c’est la plus belle de toutes les révélations, celle ou toutes ces belles aseptisées ne peuvent que succomber de honte. Je n’ai aucune indulgence pour celles qui trahissent ce qu’elles sont. Soyons juste elles me font plutôt pitié. Si j’étais capable d’accepter tous ces débordements je ne serais plus un homme. Pourquoi Dieu est-il affublé de toutes ces incomparables qualités. Nous n’en savons strictement rien. Un Dieu colérique
Toujours rien. Nous faudra t’il une ultime EMP (Electro Magnetic Pulse) pour nous rendre compte que notre monde est aussi fragile qu’une bête fourmilière. Plus de radios ni de télés, plus de téléphones ni de cartes bancaires, plus de CD ni de DVD, presque plus de voitures à part les vieilles. Les ascenseurs en panne, les feux rouges éteints, les ordinateurs inutiles, les entrées impossibles, les hopitaux hors d'étatde fontionnement, la police complètement démunie, les pompiers hors d'atteintes, un retour au moins cent ans en arrière avec quelques conséquences alors inimaginables. Le chaos quoi, l'inommable chaos. C'est peut-être ce que nous réserve ce bush (je ne mets pas de majuscule) qui n'est que la manifestation de son incroyable bétise. Le bush en Australie ce n'est quand même pas un terrain de villégiature. La seule acquisition du progrès c’est que l’homme vit plus longtemps et qu’il a donc plus de temps pour raconter des conneries. J’en suis la preuve viv
Je rêve ou quoi. Tout se dire, rêver ensemble, se chiper la trajectoire, anticiper l'incontournable, reussir l'imposible, entrevoir un instant ce qu’est l’autre. Oui, je sais beaucoup n’en on apparemment rien à foutre. Je sais tellement de choses inutiles qu’il m’arrive parfois de craindre mon annihilation qui viendra bien sur. Depuis des centaines d’années au moins je me demande ce qu’il pourrait m’arriver dans la tête d’un autre. Rien de bien extraordinaire si j’en juge par les actions de mes concitoyens. Mais partager ne serait ce qu’un instant ces accumulations de mièvreries me serais peut-être d’un grand secours. Je ne rêve plus que d’étrangement raisonnables ou de simplement possibles. Est-ce un signe de sénescence ou d’un disfonctionnement d’une petite glande qui me perturbe. Je ne saurais sans doute jamais tant nous sommes sujets à de ces dérèglements qui nous pourrissent la vie sans même nous avertir. Eh oui, l’homme ( ou la femme, bien sur, il existe pas de terme, enf
Vive les moches Quitte à parler de rien, parlons de la pornographie. Je dois dire qu’internet m’a ouvert des horizons insoupçonnés mais pour lesquels je n’ai aucun penchant. Je reste désespérément fixé sur le « one on one » quelques fois un petit dérapage vers les trois ou quatre participants mais rien de bien sérieux. Je ne suis qu’un papy de la pornographie. Il faut vous dire toute l’admiration que ces éphémères stars suscitent en moi. De gré ou de force (merci, je ne suis pas idiot) elles nous montrent ce qui n’est après tout que notre mode de reproduction. Mais voilà qu’un plan diabolique (au moins) nous l’a associé à un monde de plaisir. Et nous voilà damné pour l’éternité. La masturbation n’est qu’une reconnaissance de soi, l’amour une reconnaissance de l’autre. Elles, ou ils (pourquoi pas) , nous montrent que le plaisir (pas toujours feint) n’est pas qu’une pas qu’une matière à vendre. Elles nous montrent que le plaisir féminin n’est pas qu’un phantasme de machos sur le retour.
Le monde est une énigme que n’innombrables générations ont essayé de résoudre. Et si quelqu’un l’avait résolue serait-il encore parmi nous pour nous enseigner ce qui n’est pas enseignable ? Tout ce que sais de source sure (moi, j’ai un peu honte mais bon) c’est que je ne sais rien. Je sais ce n’est d’une façon de parler encore et encore. Parler sur rien est à la mode alors parlons sur rien. Et si le diable avait gagné ? Ou pour parler autrement, si une infime erreur dans notre ADN ne nous vouait qu’a une lente et incontournable extinction. Pourquoi pas une apocalyptique fin de règne, peut être parce ce que nous ne le méritons pas, comme les dinosaures. Si jamais la pensée a un avenir ce ne sera pas par nous. Ne nous culpabilisons pas, nous ne sommes que des scorpions. Mais trêve d’idées noires, nous pouvons répandre notre bordel dans tous les coins de l’univers. Nous pouvons tout. Excusez moi, c’est le rire qui m’étrangle.
Rien que des mots Allons donc , voilà une page blanche, immaculée, vierge, je ne peux que la polluer. Est-ce notre condition ? Je pense donc je pollue, ce serait dans l’air du temps. Les mots ripostent de leurs sens ou de leurs sonorités invisibles. Vous attendez surement d’une lecture les mots qui changent, non ? Je ne sais ce qui me motive dans cette tentative de partager . Le « je pense donc je suis » ne pêche que par deux mots « je » et « pense ». « je » forcement pense, sinon il ne pourrait pas dire « je ». Et ce qui permet dire « je » c’est le temps. Le temps qui permet de comparer ce qui était et ce qui est. Le « je pense » n’est donc qu’une constatation du « je » et du temps. Le langage est bien trop approximatif pour être la source d’un raisonnement quelconque, mais que de fascinantes aventures il nous nous permet. J’ai quelque mal à convenir que le simple mot « corbeille » puisse évoquer une coupe de fruits, l’agitation de la bourse, ou une belle paire de seins et que sais-je
Je suis fasciné par la science, c’est sur, mais aussi de l’histoire des hommes et du monde. Les mathématiciens nous inventent allégrement des dimensions supplémentaires (jusqu'à 12) pour tenter d’expliquer l’univers qui nous est nécessaire. Pourtant quels progrès avons-nous fait depuis l’antiquité et les plus incontournables d’entre eux : les grecs ? Juste une technicité bluffante a laquelle nous sommes tous soumis. Le temps crée toutes les dimensions que nous connaissons à priori et nous ne cherchons de nouvelles dimensions que dans ce cadre exigu. Une vrai nouvelle dimension ne doit-elle pas s’affranchir de ce temps qui nous étouffe ? Pourquoi pas « structures », après tout ce n’est rien que d’évident hormis son indépendance au temps justement. Je sais la philosophie et la science ne font pas forcement bon ménage. Quand un philosophe se mêle des histoires du monde il ne peut que raconter des conneries, il ne peut que réfléchir sur le monde. Ai-je toujours essayé de comprendre ? O
Vous avez dit scorpion ? De temps en temps me reviens à la mémoire cette histoire de grenouille et de scorpion. Vous savez bien. Un scorpion persuade une grenouille de l’amener sur son dos de l’autre coté de la rivière, mais arrivés au milieu de l’eau le scorpion la pique et devant son évidente incompréhension rétorque « je sais, mais je suis un scorpion ». Un histoire contée par un prof inconnu de ma mémoire dans une classe de 4eme ou 5eme, je ne me souviens plus non plus, qui provoqua l’hilarité imbécile d’une assistance soumise et mon incompréhension comique la plus absolue. Les souvenirs ne sont peut-être que des suites d’incompréhensions ce qui ne serait pas flatteur pour notre intelligence. Une histoire qui s’est encombrée de mon cheminement avec ses interprétations successives, mais jamais comiques ou alors si loin de mes préoccupations que ce n’était même pas envisageable. Et puis voilà, j’ai voulu discourir un peu sur cette fable et j’ai fais une petite recherche sur le net «
UN MONDE DE BRIBES Six heures. Un café, un café, un crème et un croissant, un café, un serré, un café allongé. Bon ça suffit, heureusement je les connais tous et leurs habitudes sinon je serais plus que perdu. La machine débite imperturbablement, sans sourciller à condition de l’alimenter convenablement. Maryse est là pour ça, je me demande toujours comment elle résiste, elle a deux gamins à vivre et de ce qu’elle m’a dit se venge de ces hommes mécaniques. Elle prends plaisir à cette machine qui n’éjacule rien d’autre que des petits cafés. A cette heure il n’y a que des pauvres mecs s’offrant un instant de convivialité fugitive. Chacun a sa vie que je n’ose imaginer. Ce n’est pas l’envie qui me manque mais la peur de me reconnaître. Dix heures. L’apparition des couples, rien ne les remplace pour s’évader dans les plaisirs de l’imaginaire plausible. Quelques femmes séduisantes ont sans doutes éveillé mon attention, leurs attentes, leurs frustrations, ou leurs silhouettes entrantes ou so
Des Rationnels et des Réels Je me pose parfois des questions stupides, quand remontent à ma mémoire des vestiges de mon passé. Cette fois ce sont des restes de mathématiques qui viennent m’interroger. Voilà mon problème : On connait les nombres entiers : N (1,2,3….) les entiers relatifs : Z (….-3,-2,-1,0,1,2,3….) les nombres rationnels Q (… -3,-2,-2/3…-1…-1/2..0…3/4….16/9….2,3….) les nombres réels R (-infini…tout ce qu’on veut…..+infini) les nombres complexes C (mais là n’est pas mon problème) mon problème c’est le passage des rationnels aux réels. J’ai étudié avec les suites de Cauchy, mais toujours trouvé ça un peu artificiel. Alors voilà : appelons Qr l’ensemble des rationnels de numérateur z (entier relatif) et de dénominateur r (entier aussi mais fixé à la valeur r), appelons r la résolution de Qr. La plus petite longueur mesurable avec Qr est donc 1/r, on peut appeler ça la plus petite approximation. Que se passe t’il quand r tends vers l’infini, et bien on pourrait dire que Qr t