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Affichage des articles du juillet, 2006
Un homme de cromagnon (pas notre ancêtre idiot) bon alors une homme de néandertal (pas possible non plus) bon alors une homo-sapiens-sapiens (et tu l’a dans le cul là) (il n’y a plus de sapiens-sapiens juste des sapiens) Bon , alors un gorille reposant gentiment sur s branche préférée (euh la majorité des gorilles vivent au sol) Bon, un chimpanzé tranquille sur sa branche.On est d’accord. Ah oui, j’avais perdu le fil avec toutes ces conneries. Et là voilà que se pointe sa bonne femme (non, je ne sais pas on peut parler de femelle, de génitrice, de partenaire sexuelle, oh et puis merde vous avez bien compris). Et voilà t’il pas qu’elle lui réclame a bouffer pour les petits. Malheureusement c’est du déjà vu. Même qu’en bas ils t’attendent (on ne chasse qu’en groupe, c’est une règle de survie). Il faut savoir assumer ses responsabilités. On est pas vingt cinq pour trier des noix (pourquoi vingt cinq parce que c’est simplement cinq +cinq+cinq +cinq+cinq, et la dessus je ne me trompe jamais
Je me suis toujours demandé comment un état pouvais financer des recherches "stupides". Mais c'est sans doutes la richesse de la recherche. Le bonheur : y a-t-il une corrélation avec le salaire? Extrait du BE Etats-Unis N°43 - Ambassade de France aux Etats-Unis, le 27/07/2006 à 06h46 Une augmentation de salaire, et donc des biens disponibles, ne correspond pas à plus de bonheur. Telle est la conclusion d'une étude faite par des chercheurs du Centre d'Etudes de politique économique (CEPS) de Princeton University, avec la collaboration de Daniel Kahneman, qui a reçu le Prix Nobel d'Economie en 2002.D'après les chercheurs, il n'y a quasiment pas de relations entre le sentiment de bonheur éprouvé et le salaire une fois qu'un certain niveau est dépassé (le seuil de pauvreté en 2006 aux Etats-Unis est de $20 000/an pour une famille de 4 personnes et de $9 800/an pour un individu). L'étude a été menée sur 1 173 individus en leur posant des questions
La fénimisation des mots. Je ne comprends pas cette tendance qui sous prétexte d’égalité ne font que perdurer un ostracisme décadent. Imaginez vous à l’hôpital n vous annonce que la doctoresse «untel » va se charger de vous. Y a t’il un(e) seul(e) d’entre nous qui n’ait pas une fraction de seconde d’interrogation avant de se rallier à la raison. Ok on s’occupe de moi. Le vrai changement ne serait il pas d’abolir le genre des mots (je sais que ça peut hurler dans certaines chaumières). Je sais qu’il y a des impossibilités sémantiques, mais le langage est vivant. Et l’usage est la seule règle qui tiennent. Et en dehors des sujets qui fâchent. Pourquoi pas « un chand soirée d’été ».
Seul le passé a du sens. C’est triste a mourir. Deux balles dans la poitrine. Pas vraiment mal. Juste quelque chose d’anormal. Sirène de police. Lucidité fatale. Pigeons insouciants. La lune rigole. Sourire de flic pas vraiment rassurant. Un grand rêve éveillé. Panique dans un espace clos. Affectueuse sollicitude. Couloirs trop lumineux.. Et puis rien. Toujours au passé. Yeux compatissants. Lumières vagues. Vagues de bonheur. Douleurs incertaines. Temps distendu. Bips insupportables. Miracle d’un bout de conscience. Semblant de continuité. Possibilité d’avenir. Souvenirs diffus et improbables. Bonjour a tous. Je pense.
Du pain et des jeux (et Rome) 250 millions de pratiquants (estimation ). Quelques milliards de téléspectateurs. C’est la coupe du monde de football. Les jeux avant le pain ? Mais c’est aussi la bourse. C’est aussi les médias, la science, l’art, la philosophie, l’action. Tout ce qui camoufle nos peurs, nos incertitudes, notre terrifiante vacuité. Notre fardeau est d’agir, et nous ne savons pas faire autre chose. Nous sommes les footballeurs d’un jeu inconnu dont nous aimons imaginer les règles. Alors tout est possible, et les possibles s’affrontent.