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Affichage des articles du janvier, 2008
PENSEES PERPLEXES On ne peut vivre qu’en faisant le bien ET le mal. Après tout Lazare n’était peut-être qu’un fieffé salaud et Barrabas plus que certainement. Jésus savait-il à combien de massacres son nom servirait d’alibis ? Apparemment oui, et Il savait aussi que la justice n’est pas de ce monde et qu’au royaume de son père point n’est besoin de justice, en l’absence de péchés. L’expérience n’est que la lente transformation des forces arrogantes de la jeunesse en oripeaux vaniteux de la vieillesse. L’homme aime par-dessus tout se croire le maitre de son destin, se créer lui-même en somme, prendre la suite de dieu dans un jeu incertain, d’égal à égal. Alors qu’il n’est qu’un grain de sable soulevé par le vent, inconscient de sa trajectoire et sans la moindre idée des conditions de sa chute. Même un possible autre envol ne dépends pas de lui. Et pourtant, nous sommes tous internés en hôpital psychiatrique pour nous soigner de notre mégalomanie et de notre addiction à la pensée. Après
UNE HISTOIRE DE PENSEE. La vie crée l’intérieur et l’extérieur, le dedans et le dehors, le soi et le non-soi, la vie crée la dualité ou plutôt la dualité apparait avec la vie. Tous nos jugements ultérieurs dérivent de cette distinction primordiale : soi et non-soi . Mais comment la matière, qui est une, peut-elle miraculeusement prendre une forme duale ? Ou bien la matière n’est pas une, ou bien un deuxième larron intervient dans l’histoire. Cachée dans les fluctuations quantiques la vie est déjà présente dans la moindre poussière, avec toutes ses potentialités constructives, en attente de conditions favorables à son épanouissement. Au hasard des innombrables combinaisons de la matière apparaissent des structures qui permettent des collusions avec d’autres ailleurs qui se manifestent au travers de la vie. Donc il faut accepter de revoir complètement notre notion de matière, ou l’intervention d’autre chose que nous ne connaissons pas. Ce qui ne change rien à ce que nous sommes sauf peut
L'ALCOOL C'EST MARRANT, MAIS NAVRANT. Bon, j’en ai marre, comme je ne comprends toujours pas ce qu’est l’information, je vais réfléchir presque tout seul (ce qui est moins courant que ce qu’on peut croire). Bon, d’abord information et communication c’est un peu comme la poule et l’œuf. Seule chose sure c’est qu’il faut au moins être deux. Donc existence de quelque chose qui sépare, la seule chose possible me semble être la vie. La vie sépare et crée ensemble communication et information. Admettons. Si j’avais l’outrecuidance (comme c’était mon intention) d’affirmer une loi de conservation de l’information (comme celle de l’énergie) ça voudrait dire conservation de la vie. Une loi de conservation de la vie, pourquoi pas, mais il faudrait alors supposer des formes de vies très éloignées de nos critères habituels. Si ce n’est pas la vie qui sépare c’est la matière elle-même qui est séparée et crée communication et information. Donc la nature est discrète (séparée) et toutes les in