Le cortex préfrontal.
Dans un de mes blogs copié sur une "news" trouvée sur un des nombreux sites qui cherchent les nouveautés scientifiques ( en l’occurrence l’agence science presse des nos amis du Québec) il était fait référence à l activité (IRM évidemment) de ce cortex préfrontal comme « siège reconnu de la perception de soi-même »..
Dans un article de science et vie sur le libre arbitre ( fin 2005 à ce qu’il me semble) ils font référence à l’activité de cette même zone (avec quelques raisons, toujours les IRM) comme pratiquement le siège du libre arbitre (et donc?) de la conscience. Avant chaque action les zones cérébrales concernées sont activées bien avant le cortex préfrontal qui ne dispose plus que de très peu de temps pour intervenir sur l'action en cours.
Dans une autre "news" (qu’il ne me semble pas avoir référencé ici , et que je ne retrouve d’ailleurs pas) il était rapporté après une comparaison entre des squelettes séparés de plusieurs siècles , les premiers de l'époque de la peste noire, les derniers de l'épidémie de grippe espagnole du début du XX siècle, la possibilité d' une légère augmentation du lobe préfrontal . Preuve que l’évolution humaine est toujours en marche.
Je suis prêt à accepter de nombreuses confirmations ou découvertes grâce à l’utilisation de l’ IRM. : localisations des différents centres actifs lors d’activités diverses : vision, langage, concentration, plaisir, souffrance …etc.
Mais la démarche inverse, consistant à des réductions ou des extrapolations sur le rôle des zones identifiées, me semble particulièrement douteuse.
Et si ce cortex préfrontal n’était que l’interface sociale de notre activité cérébrale tout s’expliquerait parfaitement . L’évolution présumée (la société se complexifie), le dernier rempart avant l’action (logique le social étant forcément le dernier acquis), et la baisse de son activité quand aucune intervention sociale n’est prévisible (méditation, concentration …).
Dans un de mes blogs copié sur une "news" trouvée sur un des nombreux sites qui cherchent les nouveautés scientifiques ( en l’occurrence l’agence science presse des nos amis du Québec) il était fait référence à l activité (IRM évidemment) de ce cortex préfrontal comme « siège reconnu de la perception de soi-même »..
Dans un article de science et vie sur le libre arbitre ( fin 2005 à ce qu’il me semble) ils font référence à l’activité de cette même zone (avec quelques raisons, toujours les IRM) comme pratiquement le siège du libre arbitre (et donc?) de la conscience. Avant chaque action les zones cérébrales concernées sont activées bien avant le cortex préfrontal qui ne dispose plus que de très peu de temps pour intervenir sur l'action en cours.
Dans une autre "news" (qu’il ne me semble pas avoir référencé ici , et que je ne retrouve d’ailleurs pas) il était rapporté après une comparaison entre des squelettes séparés de plusieurs siècles , les premiers de l'époque de la peste noire, les derniers de l'épidémie de grippe espagnole du début du XX siècle, la possibilité d' une légère augmentation du lobe préfrontal . Preuve que l’évolution humaine est toujours en marche.
Je suis prêt à accepter de nombreuses confirmations ou découvertes grâce à l’utilisation de l’ IRM. : localisations des différents centres actifs lors d’activités diverses : vision, langage, concentration, plaisir, souffrance …etc.
Mais la démarche inverse, consistant à des réductions ou des extrapolations sur le rôle des zones identifiées, me semble particulièrement douteuse.
Et si ce cortex préfrontal n’était que l’interface sociale de notre activité cérébrale tout s’expliquerait parfaitement . L’évolution présumée (la société se complexifie), le dernier rempart avant l’action (logique le social étant forcément le dernier acquis), et la baisse de son activité quand aucune intervention sociale n’est prévisible (méditation, concentration …).
Commentaires
Nous sommes dans une société du paraître et de l'image, vidéo société, la visibilité du visage est capitale pour donner du crédit à l'information, le front doit être large car intelligent mais le crâne doit garder sa chevelure, ces implants sont d'ailleurs curieusement remboursés par la sécu, les yeux doivent être espacés, et le nez point trop fort pour ne pas évoquer l'animalité, comment une mode planétaire pourrait-elle influer sur le développement de l'interface? Par mimétisme? par une modification du choix des partenaires ??? Je ne suis pas sûr que des êtres au visage anguleux ou au nez patatoïdes et aux oreilles décollées ne puissent êtres d'excellents communicants, je pense à Philippe Gildas, excuse moi, j'avais besoin de commencer la journées en disant des bêtises, bon week end ;)