La fin justifie les moyens?
Depuis quelques temps cette phrase m'obsède, elle me semble cristaliser tout ce qui nous enferme dans un jeu mortel:
-l' existence d'une causalité (moyens => fin)
-l' existence d'une fin (un but)
-l' existence de moyens (départs de la causalité) et surtout la maitrise des moyens (implicite pour que la phrase ait un sens)
A chaque point correspond des sources de conflits et d'incompréhensions.
-croyances, philosophies, sciences (classique, relativiste, quantique, chaos) ...
-religions, idéologies (politiques et autres) ...
-guerres, politiques, prosélitismes, expérimentations ...

Il est probable que tout ait déjà été dit, écrit, pensé, et perdu ou caché dans quelques recoins de l'histoire. Mais il reste à affronter le présent, et c'est notre supplice de tous les jours. L' information est la clé. Il faut un contre-pouvoir que les médias traditionnels ne representent plus.

Les religieux se calfeutrent derrière leurs croyances improbables.
Les philisophes n'exhument que des idées dominantes (il y a des exceptions)
Les scientifiques pretextent qu'ils cherchent (il y a des exceptions)
Les économistes sont toujours persuadés de leurs visions inéluctables
Les medias font du nombrilisme primaire et coupable
Les politiques font croire qu'ils peuvent agir (sauf localement)

Il n'y a pas de complot (sauf extra-terrestre) mais une conjonctions d'interêts que personne ne peut combatrre. Al-Quaida n'est pas une nébuleuse terroriste comme on veut nous le faire croire, c'est une nébuleuse financière qui domine le monde. La majorité (60 à 80%) de l' économie mondiale est souterraine (drogues, trafics, corruptions, paradis fiscaux...). Les magouilles sur les valeurs boursières ne sont que des leurres pour gens respecteux (enfin pour la majorité d' entre eux).

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