11 Septebre encore
Il y a trop de zones d’ombres, de dissimulations, voire de mensonges, pour réduire la catastrophe du 11 septembre à un simple attentat terroriste. Je ne ferais pas la liste, trop longue, je n’en ai ni le courage ni le temps que ça mérite.
Si ce n’était qu’un simple attentat terroriste, pourquoi tant de cachoteries et d’obstructions (même selon la commission d’enquête officielle). Il ne me semble pas que les attentats de Paris, Londres ou Madrid n’aient provoqués de telles suspicions. Evidemment il y a quelque chose à cacher. Quoi ? Je ne sais pas.
Selon certains, pourquoi remuer le passé inlassablement puisque c’est l’avenir qui compte. Ont-ils oublié les bases de la psychologie ? Une attitude presque subtile pour nous faire accroire que l’histoire n’a pas plus d’importance qu’un délire d’un post doctorant en mal de thèse.
Selon d’autres, tout n’est que manipulation pour on ne sait quel intérêt, sauf peut être pour une discréditation de la démocratie, et l’établissement de régime fort et sans concessions. Mais ils y sont déjà, suite à leurs attitudes équivoques.
Quant à ceux qui font appel à des motifs négationnistes, je prends des gants pour leur dire : vous êtes des cons irréductibles.
Le début de ce siècle est donc marqué par les interventions en Afghanistan puis en Irak, toutes deux fallacieuses, et ce ne serait d’aucune importance. Quelle foutaise. Le mot « démocratie » n’a plus aucun sens.
On ne peut sans doutes pas reprocher à certains d’avoir voulu anticiper et d’essayer de voir à long terme. Ce n’est pas si fréquent. Mais quand les bases du raisonnement sont truquées ou carrément débiles, tout est possible. Le problème étant : qui manipule qui ?
La complexité du monde laisse les meilleurs esprits sans voix. Je n’en dirais donc pas plus.
Il y a trop de zones d’ombres, de dissimulations, voire de mensonges, pour réduire la catastrophe du 11 septembre à un simple attentat terroriste. Je ne ferais pas la liste, trop longue, je n’en ai ni le courage ni le temps que ça mérite.
Si ce n’était qu’un simple attentat terroriste, pourquoi tant de cachoteries et d’obstructions (même selon la commission d’enquête officielle). Il ne me semble pas que les attentats de Paris, Londres ou Madrid n’aient provoqués de telles suspicions. Evidemment il y a quelque chose à cacher. Quoi ? Je ne sais pas.
Selon certains, pourquoi remuer le passé inlassablement puisque c’est l’avenir qui compte. Ont-ils oublié les bases de la psychologie ? Une attitude presque subtile pour nous faire accroire que l’histoire n’a pas plus d’importance qu’un délire d’un post doctorant en mal de thèse.
Selon d’autres, tout n’est que manipulation pour on ne sait quel intérêt, sauf peut être pour une discréditation de la démocratie, et l’établissement de régime fort et sans concessions. Mais ils y sont déjà, suite à leurs attitudes équivoques.
Quant à ceux qui font appel à des motifs négationnistes, je prends des gants pour leur dire : vous êtes des cons irréductibles.
Le début de ce siècle est donc marqué par les interventions en Afghanistan puis en Irak, toutes deux fallacieuses, et ce ne serait d’aucune importance. Quelle foutaise. Le mot « démocratie » n’a plus aucun sens.
On ne peut sans doutes pas reprocher à certains d’avoir voulu anticiper et d’essayer de voir à long terme. Ce n’est pas si fréquent. Mais quand les bases du raisonnement sont truquées ou carrément débiles, tout est possible. Le problème étant : qui manipule qui ?
La complexité du monde laisse les meilleurs esprits sans voix. Je n’en dirais donc pas plus.
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