La France profonde..
Je suis le contraire d’une bourlingueur, d’un aventurier des espaces vierges, des expériences extrêmes. Je suis révolté par ces raids, rallyes, et télé-réalités arrangées, soue les regards émerveillés (ceux qu’on nous fait voir) d’une humanité qui crève de famine, de maladies dont les laboratoires pharmaceutiques se foutent éperdument, de la détérioration de leur environnement .
les organisateurs n’étant pas complètement inconscient ils évitent les régions à problèmes et annulent parfois certaines « épreuves » pour causes d’insécurité (pour qui ?).
En fait je suis un « beauf » un peu évolué.
Après un week-end paisible chez mais parents pour finir une semaine d’internat en maths-spé je me suis retrouvé un lundi matin d’octobre face à la France profonde, dans une charmante commune ou je ne remettrais jamais les pieds :BLOIS.
Je n’ai rien contre BLOIS, mais on a de ces répugnances qui vous conditionnent pour une vie entière. A l’époque c’était encore de vrais trois-jours ( pour ceux qui l’ignorent, et ils sont sûrement de plus en plus ces trois jours étaient censés permettre une évaluation de nos aptitudes militaires a l’aide de multiples tests, physiques, intellectuels, physiques….). Les temps changeant les fameux « trois-jours » se sont restreint à deux puis un jour et enfin à être supprimés, ainsi que le service militaire d’ailleurs, au « profit » d’une journée dont la dénomination définitive m’echappe.
Cette France profonde donne de tout, c’est presque incroyable, des illettrés , des débiles (presque) profonds, des pervers (au moins en devenir), de jeunes jamais sortis de leur vallée, et (mais presque en minorité quand même) des gens "normaux" , intelligents, sensibles (indépendamment des tests de Q.I.) . Grâce à ces trois-jours en tout cas , j’ai échappé au service militaire. Mais c’était une époque ou on réformait facilement et j‘ai eu la chance de « tomber » sur un « évaluateur » jeune et conscient de son rôle.
Cette France profonde, tous les gens de ma classe d’age l’a rencontrée. Et ceux que j’ai connu ont tous exprimés le même constat.
Tout ça pour dire quoi ? Que les média font du fric avec la France profonde et qu’une nouvelle oligarchie s’est constituée dont nous avons rien à attendre.
Je suis le contraire d’une bourlingueur, d’un aventurier des espaces vierges, des expériences extrêmes. Je suis révolté par ces raids, rallyes, et télé-réalités arrangées, soue les regards émerveillés (ceux qu’on nous fait voir) d’une humanité qui crève de famine, de maladies dont les laboratoires pharmaceutiques se foutent éperdument, de la détérioration de leur environnement .
les organisateurs n’étant pas complètement inconscient ils évitent les régions à problèmes et annulent parfois certaines « épreuves » pour causes d’insécurité (pour qui ?).
En fait je suis un « beauf » un peu évolué.
Après un week-end paisible chez mais parents pour finir une semaine d’internat en maths-spé je me suis retrouvé un lundi matin d’octobre face à la France profonde, dans une charmante commune ou je ne remettrais jamais les pieds :BLOIS.
Je n’ai rien contre BLOIS, mais on a de ces répugnances qui vous conditionnent pour une vie entière. A l’époque c’était encore de vrais trois-jours ( pour ceux qui l’ignorent, et ils sont sûrement de plus en plus ces trois jours étaient censés permettre une évaluation de nos aptitudes militaires a l’aide de multiples tests, physiques, intellectuels, physiques….). Les temps changeant les fameux « trois-jours » se sont restreint à deux puis un jour et enfin à être supprimés, ainsi que le service militaire d’ailleurs, au « profit » d’une journée dont la dénomination définitive m’echappe.
Cette France profonde donne de tout, c’est presque incroyable, des illettrés , des débiles (presque) profonds, des pervers (au moins en devenir), de jeunes jamais sortis de leur vallée, et (mais presque en minorité quand même) des gens "normaux" , intelligents, sensibles (indépendamment des tests de Q.I.) . Grâce à ces trois-jours en tout cas , j’ai échappé au service militaire. Mais c’était une époque ou on réformait facilement et j‘ai eu la chance de « tomber » sur un « évaluateur » jeune et conscient de son rôle.
Cette France profonde, tous les gens de ma classe d’age l’a rencontrée. Et ceux que j’ai connu ont tous exprimés le même constat.
Tout ça pour dire quoi ? Que les média font du fric avec la France profonde et qu’une nouvelle oligarchie s’est constituée dont nous avons rien à attendre.
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