L'INTEGRISME REVIENT PARTOUT
Et voilà que l’anthropocentrisme revient aux détours des pathétiques simulations numériques d’astrophysiciens en mal de théories adéquates. Notre système solaire bénéficierait d’une configuration si exceptionnelle que notre existence serait en quelque sorte divinisée. C’est quand même oublier un peu vite le nombre extraordinaire de galaxies dans l’univers ainsi que le nombre aussi impressionnant de paramètres hautement spéculatifs, inconsistants , inutiles, ou complètement ignorés, dans ces simulations qui peuvent parfois se réduire à des jeux d’enfants gâtés. La cosmologie qui me fait toujours rêver ne peut se résoudre avec ces simulations trop souvent prétentieuses et inutiles.
Et puis, quand on constate les incroyables capacités d’auto-organisation ou d’auto-structuration des particules, atomes, molécules, protéines, nanoparticules ne peut-on supposer que ce sont les conditions environnementales qui déterminent les formes de vies adaptées à se développer. Une sorte de Darwinisme étendu et une raison de plus de quitter ce centre du monde que nous ne représentons surement pas.
Commentaires
D'autres parlent aussi d'un univers chiffoné et de jeux de miroirs qui font que nous ne verrions que le même univers restreint, le nôtre, réflété infiniment.
L'electron enfermé dans le fil de cuivre se pose sans doute le même genre de questions sur le volume, l'extérieur et sur l'ailleurs, non?