Heil Hitler?
Vus sur « Planète » des documentaires fascinants sur la montée et les dérives du fascisme.
Hitler en « visionnaire » charismatique se réfugiant dans sa forteresse des montagnes pour imaginer le monde à venir.
Des sous-fifres habilement choisis pour leurs antipathies mutuelles, une culture entretenue des rivalités à l’intérieur même du parti. Et tous les sadismes, les perversions, les profits, les aveuglements, les lâchetés sont commises en espérant un éventuel aval, voire une promotion, du Furher . Hitler n’a t’il pas commandé l’ensemble des mesures qui lui sont reprochées, peut importe, c’est l’ensemble des hommes et femmes qui n ‘ont pas hésité qui nécessite une réflexion. Certains hommes sont capables de tout, n’importe ou, pour n’importe quoi, ils leur suffit d’un illusoire alibi intellectuel (au minimum soumission à l’autorité supérieure), d’une impunité temporaire.
Mais ce genre d’hommes est toujours là, ou, comment, et pour qui œuvrent t’ils ?
Vus sur « Planète » des documentaires fascinants sur la montée et les dérives du fascisme.
Hitler en « visionnaire » charismatique se réfugiant dans sa forteresse des montagnes pour imaginer le monde à venir.
Des sous-fifres habilement choisis pour leurs antipathies mutuelles, une culture entretenue des rivalités à l’intérieur même du parti. Et tous les sadismes, les perversions, les profits, les aveuglements, les lâchetés sont commises en espérant un éventuel aval, voire une promotion, du Furher . Hitler n’a t’il pas commandé l’ensemble des mesures qui lui sont reprochées, peut importe, c’est l’ensemble des hommes et femmes qui n ‘ont pas hésité qui nécessite une réflexion. Certains hommes sont capables de tout, n’importe ou, pour n’importe quoi, ils leur suffit d’un illusoire alibi intellectuel (au minimum soumission à l’autorité supérieure), d’une impunité temporaire.
Mais ce genre d’hommes est toujours là, ou, comment, et pour qui œuvrent t’ils ?
Commentaires
Je n'ai pas vu ce reportage et je partage complètement ton opinion, choix des protagonistes, dilution des responsabilités, soumission aveugle à l'autorité etc...
Ta question ouverte fait froid dans le dos, évidemment, tu t'adresses à tout le monde, donc à n'importe qui, à Siréneau en l'occurence ce brave type, j'ai lu La mort est mon métier de Robert Merle, roman historique tiré du CR du procès de Rudolph Hess à Nuremberg et du profil psychiatrique du sinistre individu, et j'ai clairement compris, et pourtant, quand je lis "Le salaud lumineux" de Jacques Vergés qui défendit Klaus Barbie, c'est déjà moins net, et quand je regarde "Lacombe Lucien" de Louis Malle, c'est encore plus trouble. C'est pas simple, les salauds, réels ou potentiels d'un côté et les purs vélléitaire ou confirmés de l'autre...
Des tests dans les années 50 prouvent que plus de 60% de personnes infligent la torture lors d'une expérience, si on lui en donne l'ordre... Ca laisse réfléchir.
Carpe Diem
Kevin