Cosmologie
M
Toute, ou presque, la cosmologie actuelle est basée sur la théorie de la relativité générale d'Einstein. Celle-ci n'a jamais été prise en défaut ( à ma connaissance) mais ne sert que comme alibi. En effets les équations d'Einstein n'admettent de solutions « simples » qu'en admettant quelques simplifications qui conduisent aux principes d’homogénéité et d'isotropie de l'univers. Ça me fais penser au type qui recherche des clés sous le réverbère parce que c'est le seul endroit où il voit quelque chose. C'est un procédé courant en physique ou devant la complexité des équations on cherche à les simplifier moyennant quelques suppositions admissibles dans le contexte de l’expérience. Mais dans le contexte de l'univers qu’elles suppositions peuvent être acceptables ou non ? Les échos, les croyances, les intérêts viennent t'ils faire irruptions dans les délicats rouages de la connaissance ?
C'est sûr que le discours : « je ne sais pas , je cherche, je ne sais que ce qui est impossible et encore » n'est pas très attrayant pour les sponsors. Ne vous y trompez pas les scientifiques de renoms ont toujours bénéficiés des largesses de richissimes bienfaiteurs.
Que l’état soit capable de financer ces conquérants de l'inutile ( et il y en a beaucoup d'autres) est en soi remarquable. Une bénédiction collatérale de la démocratie.
Enfermée entre les contraintes de simplifications théoriques et les résultats observationnels elle s'obstine avec quelques théories ad-hoc ( inflation, matière noire, énergie noire) .
En réalité il n'y a plus aucune théorie consistante de l'histoire et du développement de l'univers.
Toute, ou presque, la cosmologie actuelle est basée sur la théorie de la relativité générale d'Einstein. Celle-ci n'a jamais été prise en défaut ( à ma connaissance) mais ne sert que comme alibi. En effets les équations d'Einstein n'admettent de solutions « simples » qu'en admettant quelques simplifications qui conduisent aux principes d’homogénéité et d'isotropie de l'univers. Ça me fais penser au type qui recherche des clés sous le réverbère parce que c'est le seul endroit où il voit quelque chose. C'est un procédé courant en physique ou devant la complexité des équations on cherche à les simplifier moyennant quelques suppositions admissibles dans le contexte de l’expérience. Mais dans le contexte de l'univers qu’elles suppositions peuvent être acceptables ou non ? Les échos, les croyances, les intérêts viennent t'ils faire irruptions dans les délicats rouages de la connaissance ?
C'est sûr que le discours : « je ne sais pas , je cherche, je ne sais que ce qui est impossible et encore » n'est pas très attrayant pour les sponsors. Ne vous y trompez pas les scientifiques de renoms ont toujours bénéficiés des largesses de richissimes bienfaiteurs.
Que l’état soit capable de financer ces conquérants de l'inutile ( et il y en a beaucoup d'autres) est en soi remarquable. Une bénédiction collatérale de la démocratie.
Enfermée entre les contraintes de simplifications théoriques et les résultats observationnels elle s'obstine avec quelques théories ad-hoc ( inflation, matière noire, énergie noire) .
En réalité il n'y a plus aucune théorie consistante de l'histoire et du développement de l'univers.
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