Complexité ?
Depuis l'aube fes temps la recherche de lois simples et immédiates a guidé les reflexions des philosophes et des scientifiques. Le principe du rasoir d'Ocamm n'a jamais été remis en cause, c'est même le fondement de la recherche scientifique. Et pourtant quatre courants semblent accaparer les cerveaux du monde entier.
La théorie standard, qui prends l'eau de toute part, mais que personne n'avoue officiellement déficiencente. Nous sommes encore dans le système de Ptolemée, tout peut s'expliquer, mais il y a plus simple . Le rasoir d'ocamm etr Copernic.
Les théories globales, super-symetrie, theorie des cordes , des supercordes, théorie M. Bref des théories qui ambitionnent de réduire l'univers à quelques formule ésotériques, mais n'est ce pas quelques reliques des incations des sorciers d'antan. A noter que ces super théories n'ont jamais produit, depuis au moins trente ans, aucun résultat experitalement exploitable.
Les théories informationnelles qui s'interrogent sur nos échanges d'informations avec le reel qui nous entoure. Elles ne produisent rien non plus, mais donnent de bonnes pistes sur nos limitations à explorer la réalité. C'est sans doute une des approches philosophique des plus révolutionnaire.
Les non- théoricien de l'observation qui n'admettent que ce qu'ils peuvent voir, ou percevoir de façon directe. Et ce qu'ils observent ne cadre avec aucune théorie. Ils doivent donc attendre une vision plus globale pour espérer un cadre plus adapté.
Et si le rasoir d'Ocamm n'etait qu'une limite humaine et non pas universelle? Et si la complexité etait la règle et notre perception des conditions limites de cette complexité? La vogue des simulations numèriques semble aller dans ce sens, c'est en quelque sorte une abdication de l'esprit devant la complexité. Nous sommes des bètes concues pour survivre dans un monde hostile, pour trouver tout les invariants, tout les prévisibles, toutes les lois simples de survie. Si l évolution nous à doté de réflexion c'est pour prévoir plus loin, mais prévoir loin c'est se heurter à la complexité, c'est fuir vers des solutions proches et rassurantes. Le temps est peut être venu d'affronter réellement le monde et sa complexité. Et c'est encore une question de survie.
Depuis l'aube fes temps la recherche de lois simples et immédiates a guidé les reflexions des philosophes et des scientifiques. Le principe du rasoir d'Ocamm n'a jamais été remis en cause, c'est même le fondement de la recherche scientifique. Et pourtant quatre courants semblent accaparer les cerveaux du monde entier.
La théorie standard, qui prends l'eau de toute part, mais que personne n'avoue officiellement déficiencente. Nous sommes encore dans le système de Ptolemée, tout peut s'expliquer, mais il y a plus simple . Le rasoir d'ocamm etr Copernic.
Les théories globales, super-symetrie, theorie des cordes , des supercordes, théorie M. Bref des théories qui ambitionnent de réduire l'univers à quelques formule ésotériques, mais n'est ce pas quelques reliques des incations des sorciers d'antan. A noter que ces super théories n'ont jamais produit, depuis au moins trente ans, aucun résultat experitalement exploitable.
Les théories informationnelles qui s'interrogent sur nos échanges d'informations avec le reel qui nous entoure. Elles ne produisent rien non plus, mais donnent de bonnes pistes sur nos limitations à explorer la réalité. C'est sans doute une des approches philosophique des plus révolutionnaire.
Les non- théoricien de l'observation qui n'admettent que ce qu'ils peuvent voir, ou percevoir de façon directe. Et ce qu'ils observent ne cadre avec aucune théorie. Ils doivent donc attendre une vision plus globale pour espérer un cadre plus adapté.
Et si le rasoir d'Ocamm n'etait qu'une limite humaine et non pas universelle? Et si la complexité etait la règle et notre perception des conditions limites de cette complexité? La vogue des simulations numèriques semble aller dans ce sens, c'est en quelque sorte une abdication de l'esprit devant la complexité. Nous sommes des bètes concues pour survivre dans un monde hostile, pour trouver tout les invariants, tout les prévisibles, toutes les lois simples de survie. Si l évolution nous à doté de réflexion c'est pour prévoir plus loin, mais prévoir loin c'est se heurter à la complexité, c'est fuir vers des solutions proches et rassurantes. Le temps est peut être venu d'affronter réellement le monde et sa complexité. Et c'est encore une question de survie.
Commentaires